Des histoires de vie, des instants suspendus, des émotions à fleur de mots.
Il y a des jours où une simple réunion interminable me donne envie d’inventer des maladies absurdes. D’autres fois, un match de rugby aperçu à travers la vitrine d’un pub m’inspire des images de batailles urbaines. Parfois encore, une boîte vide de gâteaux basques me pousse à imaginer des larcins nocturnes mystérieux.
C’est comme ça que ces textes sont nés. D’un rien. D’un tout petit éclat du quotidien.
Chaque moment, aussi banal soit-il, cache en lui une histoire. Il suffit parfois d’un regard différent, d’une pensée furtive ou d’une émotion trop forte pour qu’un univers prenne forme. J’ai voulu capter ces instants, les figer sur le papier, tout en floutant la frontière entre la réalité et la fiction.
Ce recueil est un journal déguisé.
Chaque chronique est née d’une situation réelle, d’un moment vécu ou observé — souvent autour du quotidien des femmes, de la maternité, du travail ou de la charge mentale — que j’ai étiré, déformé ou parfois sublimé. Mais derrière chaque histoire, il y a une graine bien réelle — que je dévoile juste après chaque texte.
C’est un jeu de miroirs. Entre ce que je vis et ce que j’imagine. Entre l’instant et l’histoire qu’il pourrait devenir.
Et puis, il y a vous. Peut-être reconnaîtrez-vous des fragments de vos propres journées dans ces chroniques. Des petits riens qui, au fond, ne le sont pas tant que ça.
Bienvenue dans ces Chroniques de presque rien, ces histoires du quotidien, où l’ordinaire devient un prétexte à l’imaginaire.
Être femme, c’est parfois avancer en équilibre.
Entre ce qu’on attend d’elles, ce qu’on leur impose, ce qu’elles veulent vraiment.
Ces textes parlent de liberté, de regard, de corps, de choix.
De ce qui pèse. Et de ce qui libère.
Sans crier, mais sans se taire.
Ce n’est pas une histoire exceptionnelle. C’est juste celle d’une femme qui a le droit. Et c’est déjà énorme.
Et si on laissait les corps tranquilles ? Ce texte parle de liberté. Celle d’exister sans s’excuser.
À côté de ces chroniques du quotidien, j’écris aussi des nouvelles.
Des récits plus longs, dans lesquels je me glisse dans la tête de femmes, d’enfants, de ceux qui ne trouvent pas toujours les mots.
Ce sont des histoires à part entière, mais qui portent le même regard que ces chroniques : celui qui cherche à comprendre ce qui, souvent, reste tu.
Nora doute. Sur sa vie, ses choix, sur ce qu’elle veut vraiment.
Une nouvelle intimiste sur les silences qu’on garde et ceux qu’on brise.
Différente. Elisa a longtemps cru qu’elle était juste bizarre. Mais elle est pétillante.
Un roman sur l’autisme, les liens qui sauvent, et ce voyage qu’on fait vers soi.
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